• 03 mai 2013 - 05 mai 2013
  • Nürnberg
  • A l'invitation de la Fondation Rosa Luxemburg de Bavière et de l'association Kurt Eisner
  • Conférence sur la crise de l'euro

  • Des intervenants de sept pays européens discuterons à cette conférence les causes de la crise européenne et les solutions possibles

    Quelles sont les alternatives, quelles peuvent être les solutions pratiques ? Quels ont été les résultats des grèves et des mouvements de protestation ? Quel est le rôle de l'Allemagne ? Quel est le rôle des pays membres d'Europe de l'Est ? Quelle est la réaction devant la montée de l'extrême droite ? Quelle importance accorder à la solidarité et à la démocratie dans la crise de l'euro ? Et que signifie tout cela pour la gauche ? 

    La langue de la conférence sera l'allemand.


Programme

Vendredi 3 mai, 15h30-18h00

À propos de la « crise de l'Europe dans le contexte de la crise mondiale - une analyse de l'origine et du développement au niveau européen" par Birgit Daiber, ancienne directrice du Bureau international de la Fondation Rosa Luxemburg (FRL) à Bruxelles

Pour l'introduction sur le recul de la démocratie, la politique de l'UE et les forces politiques / mouvements, table ronde avec

Thomas Händel, membre du Parlement européen (PE)

Lutz Brangsch, Institut pour l'analyse sociale de la FRL

Walter Baier, coordinateur du réseau européen de recherche et d'éducation, transform! europe

 Samedi 4 mai, de 9h00 à 18h00

Un regard critique sur la position de l'Allemagne dans la crise de l'euro, par Axel Troost, député Die Linke, président du groupe de travail "Politique économique alternative".

Évolutions dans les pays européens et les stratégies nationales de la gauche seront au centre des présentations des intervenants européens Les thèmes : situation social dans la crise, les mouvements, les thèmes de la résistance, le positionnement des partis de gauche, les positions syndicales.

Grèce: Thodoros Paraskevopoulos, conseiller du groupe parlementaire de la coalition de gauche de Grèce (SYRIZA) et journaliste de l'hebdomadaire Epochi. A étudié l'économie à l'Université de Kiel, a été actif dans la lutte contre la dictature militaire, traducteur des œuvres de Thomas Mann en grec.


Espagne: Cristina Asensi, membre du groupe de coordination d'Attac Espagne (vice-président d'Attac Espagne), actif dans diverses plateformes citoyennes.


Italie: Tommaso Fattori, membre fondateur du Forum italien des mouvements de l'eau, a été l'un des promoteurs de la réussite du référendum sur l'eau, qui s'est tenu en Italie en juin 2011.A été élu directeur de Transform! Iyalie en janvier 2011 , où il coordonne le projet de recherche pour les communs.

Portugal: Catarina Prencipe, membre du Bloco de Esquerda et de l'organisation contre la précarité "Inflexíveis precarios", a été actif dans le mouvement étudiant.


France: Elisabeth Gauthier, directeur de la Fondation française de gauche Espaces Marx et membre du bureau de Transform!Europe et du Comité national du Parti communiste français.


Europe du Sud-est : Boris Kanzleiter, chef de du bureau international de la FRL à Belgrade.


La Grande-Bretagne comme « exception » : Tom Walker, rédacteur en chef de Red Pepper à Londres, observateur des mouvements sociaux, écrit des articles sur les campagnes et luttes contre la politique d'austérité du gouvernement conservateur.


Dimanche 5 mai, 9h00 à 12h00

Panel de discussion avec des acteurs de gauche sur "La démocratie en Europe - mais comment?" - Campagnes locales. 
avec Judith Dellheim, responsable de la FRL pour l'Economie Solidaire (modératrice) et intervenants d'Attac, d'Occupy, de Démocratie réelle maintenant, des syndicats.